Le 24/11/2013
En juin 2011 et concernant le massage-bien-être, j'ai cherché à contacter la personne idoine à la maison de santé de la Réole .
Les services de la Mairie de La Réole, après avoir contacté la bonne personne, m'ont donné son nom et ses coordonnées en me disant qu'il était intéressé.
Je téléphonais et sans discuter le contact me dit de rappeler en septembre après les vacances et qu'il en parlerait avec ses collègues. A ce stade de quoi pouvait-il bien parler, je demandais un rendez-vous justement pour en parler ?
Je reprenais contact avec la même tête du Cerbère de la maison de santé de la Réole qui refusa le dialogue et finit tout de même par éructer comme solde de tout compte : "nous sommes sceptiques(*)"
Le Cerbère de cette maison de santé est sceptique de quoi ? que sait-il, aujourd'hui encore, de ma pratique. Je présuppose bien sûr qu'il aura fait l'effort de connaître les techniques de massage-bien-être.
Je n'oublie pas que quelques mois après un médecin qui connait très très bien une des têtes du Cerbère est venu chez moi m'informer : " je fais une étude sur les gens qui soignent en dehors de la médecine. Je vais rencontrer à M.... un guérisseur qui lui est reconnu."
A la lumière de cette "information", il conviendrait peut-être plutôt que de parler d'obscurantisme(**), d'envisager une des définitions du "délit de sale gueule (***)". Cette deuxième proposition serait plus conforme notamment à qualifier certains actes du milieu dont ceux de la municipalité de Saint Michel de Lapujade.
En dehors d'un cas en région parisienne, il m'a été presque systématiquement demandé dans la communauté de commune du réolais : "vous soignez quoi ?".
J'ai toujours répondu : "je ne soigne rien, mais quand on sort d'une séance de massages bien-être en général on se sent mieux".
Mon éthique, ma déontologie et mon militantisme se résument ainsi : "respect de l'intégrité physique et morale"
Vous avez une nouvelle fois franchi la ligne rouge.
(*)Philosophe qui nie la possibilité de la connaissance de l'absolu, qui refuse d'admette une chose sans examen critique.
(**)Refus d'adopter un comportement libéral, ouvert, tolérant, dans un domaine particulier.