le 6 septembre 2014
Après avoir ajouté sur la page de Garde de mon site internet un encart sur l'électron libre, j'ai lu l'étonnement dans le regard d'un ami. Quand on n'en connaît pas les raisons, cet encart venant de moi peu effectivement étonner. Pardonne moi mon ami d'avoir été si long à "éclairer " l'inexplicable pour celui et/ ou ceux qui me connaissent.
Je n'ai plus à démontrer que je sais atteindre les objectifs d'équipe ; en équipe, en solitaire ou en manager. C'est juste une question de contrat.
Cet encart de page de garde en fait ne concerne que quelques individus de ce petit village du fin fond de la France ; élargi tout de même à leurs réseaux relationnels.
Ils s'imaginent que les jeunes (pour mieux vendre il faut bien débuter l'addiction le plus tôt possible) et les moins jeunes doivent faire la fête avec excès au point de leur imposer un logo particulièrement peu ragoutant.
Et ils en sont fiers de vouloir faire de leurs enfants des soulards.
"oh! la honte" comme disait une jeune personne de la région, il y a quelques mois, en découvrant ce logo.
Aussi ils traitent certains villageois comme des romains de bandes dessinées... pauvres gaulois... même plus gaulois... génétiquement dilués (je pense que mes origines italiennes remontent trop à la surface, mais bon...)
Les cités des banlieues citadines défavorisées n'ont rien inventé. Ne pouvant rien cultiver, eux ils importent. Finalement, les chefs de tribus restent des chefs de tribus. Qu'importent les cieux sous lesquels ils opèrent.
Au fait, je me souviens. Ma compagne à l'époque était médecin dans la CUB.
Lors du repas qui clotura un congrès de médecins à Bordeaux, une dégustation à l'aveugle fût organisée. Celui qui obtint la première place était un médecin du Roussillon. Le deuxième c'était moi.
Le hasard, sans doute, mais les faits là aussi sont incontournables.
J'aime un verre de bon vin, pas les soulards, pas leurs coachs et pas leurs cohortes de comportements associaux et récurrents.
Au début du siècle dernier, dans les campagnes normandes ils mettaient du calva dans le biberon des enfants, mais eux ils ont évolués...
"Il n'est de richesse que d'homme - Jean BODIN".