25/08/2019
En ce mois de juillet 2019, un entrepreneur est intervenu dans la bâtisse. Ayant travaillé à contrario de son prédécesseur c'est-à-dire avec compétence, sans malfaçons et en rapport avec le besoin réel, ce professionnel a reçu des menaces. Quelques jours après son intervention et sur un autre de ses lieux de travail, le Plouc Lapujadais de Lorette s'est déplacé pour lui dire qu'il ne devait pas travailler avec moi. Ce Plouc Lapujadais de Lorette a précisé qu'il y avait deux raisons à cette menace :
«… Il écrit des horreurs (*)…»
« …Il ne paye pas les entrepreneurs… »
Ils convient de ne pas rater cette occasion de tacler la morgue et de pointer les crimes pour mieux plonger les miteux dans leur fange…
En 2012, je répondais d’une part à la communication officielle, écrite, tronquée et délétaire du maire des Lapujadais, d’autre part à son action corruptrice auprès d’un membre « achetable » d’une administration territoriale. L’objectif direct de ce premier magistrat était de me faire interdire de travailler (**). J’ai donc transformé mon site professionnel en bac à sable. Depuis, j’ai pu et je peux recadrer la communication inféconde du lapudais en donnant des réponses adaptées aux agressions récurrentes des premiers magistrats successifs du village, de leurs équipes et de leurs portes-pistolets.
C’est en 2003 qu’un peintre (applicateur agréé A…..) de Monségur est intervenu sur demande de ma mère dans l’aile de la bâtisse qu’elle avait choisie pensant pouvoir y vivre en paix. Ma mère m’expliqua lors de ma visite suivante que l’artisan lui avait dit : «… on a vu ma voiture devant chez vous et l’on m’a dit que je devais arrêter de travailler avec vous… ».
De fait, toutes les entreprises qui sont intervenues dans cette bâtisse ont vu leurs factures acquittées par au moins un chèque du montant exact de la facturation. Seul un chef d’une entreprise d’électricité et de plomberie n’est jamais venu chercher son chèque. Cet homme un entrepreneur local à l’égo décalé, dont quelques semaines avant la réunion de fin de travaux j’avais neutralisé dans le calme et devant témoin une tentative de violence physique, m’insultera (***) devant ses compères et l’expert qui leur avait imposé de remettre leurs travaux aux normes. Je suggérais à ce chef d’entreprise d’aller prendre l’air pour reprendre ses esprits. Cet erzat ne reprit jamais contact.Il ne fournira jamais les documents demandés. Boudiné dans son ego, Il ne viendra jamais chercher le chèque que ma mère avait établi, que je tenais à sa disposition et dont j'avais pris soin de l'informer par courrier
L’instinct de grégarité chez les Bourrins dont Le Plouc Lapujadais de Lorette n’est qu’une déclinaison les confinent dans leur enclos mental. Fantasmant le rapport de force en lieu et place du rapport d’intelligence, leurs stratégies relationnelles se déclinent de manière usuelle en terme « perdant / perdant ». C’est une des stratégies basiques du « cocu/battu/content (****).
Questions
Monsieur Le Plouc Lapujadais de Lorette, de par les faits ci-dessus décrits ce ne sont pas mes écrits ou mes actes qui ont motivés vos paroles criminelles en 2019. Est-ce vous qui avez prononcé les mêmes en 2003 ?
Monsieur Le Plouc Lapujadais de Lorette les faits vérifiables montrent que contrairement à vos affirmations calomnieuses, ma mère et moi avons toujours établi les règlements pour toutes les interventions que nous avons commandées.
Monsieur le Plouc Lapujadais de Lorette quels sont vos compères ? Votre objectif de départ nous le connaissons tous... De plus, votre Caporal et néanmoins chef d’équipe actuel a déjà communiqué par un écrit officiel sur le piteux échec en 2018 de la stratégie multidécennale de votre « association de malfaiteurs ». Alors qu’elle est la cause de cette démence qui continue de vous ronger et vous conduit à faire émerger une nouvelle fois la nature criminelle des comportements de votre groupe de pression ? Auriez-vous perdu la confiance en vos Dieux ?
Synthèses
Courage… depuis vingt ans, vous avez affirmé sous de nombreuses déclinaisons : « le pot de terre n’a aucune chance face au pot de fer ». Notamment, votre ancien chef -chef, que le monde de l’oubli a rappelé à lui, l’avait ainsi formulé : « vous verrez nous avons le bras long »… Ne vous y trompez pas, vous n'êtes qu'un pot d’aisance. Ce qui se rapproche le plus du pot de fer dans votre stratégie, c’est cette fange corrompue de l’administration et de la justice Bordelaise que vous avez excitées et à laquelle je dois faire face avec détermination depuis de nombreuses années.
A bon entendeur , Salut
(*) Cela me rappelle l’outrecuidance de l’ancien Maire, qui le visage pivoine et boursouflé, éructera en sautant du coq à l’âne : « de toute façon personne ne le lit votre site »…
(**) Il est vrai qu’un praticien de massage bien-être expérimenté et diplômé (Massage Academy & Ecole des spas et instituts… devenu Ecole Internationale des Spas) est de facto en rupture avec la culture Lapujadaise de la viande soule et ne peut qu’être en rupture totale avec des viticulteurs corrompus et des villageois sans conscience. (***) Ce pitre imitant en cela le maçon qui s’était improvisé Maître d’œuvre avait dit à ma mère : « ne vous laissez pas faire, c’est vous qui décidez ».
Ces bourrins ne savaient pas que ma mère avait choisi librement comme « maître d’œuvre » le fils [indigne] de cet entrepreneur qui lui était intervenu avec professionnalisme dans la maison familiale 30 ans auparavant. Je travaillais sur Paris (2002-3 & 4) à l’époque des travaux de rénovation de son logement à Lorette. Elle avait mon plein accord pour réaliser son espace comme elle l’entendait… Un jour (et ce n’était pas faute de l’avoir averti – fratrie et conjoints associés à cette démarche de mise en garde), elle me dira qu’elle avait trop de problèmes avec les entreprises [qui abusaient de son état de femme] et qu’elle avait pris contact avec un expert du bâtiment par l’intermédiaire d’une association de défense des femmes… de Libourne et de mémoire.
En réunion de fin de travaux organisée par l’expert, devant les pitoyables insultes et pour calmer le jeu je fus obligé de leur dire que s’ils avaient pu intervenir dans la bâtisse, c’est parce que je l’avais autorisé. Le calme s’installa définitivement.
En 2006, le dénis des « locaux» continuera. Un membre du Crédit Agricole de la Réole, la banque de la SCI familiale, se décarcassera pour établir un faux (sur ordre de qui et dans quel but ?) : une fausse déclaration bancaire donnant illégalement, à ma mère, les pouvoirs d’une gérante (statutaire) de la Sci familiale…pouvoir non utilisé par ma mère… mais selon toute vraisemblance récupéré, utilisé illégalement et en pleine conscience par la Justice. Je n’ai découvert ce délit qu’en 2019.
(****) cocu/battu/content
cocu : comme tout le monde,
battu : comme tout le monde
content : seul le bourrin perpétue ce choix de vie relationnelle