Le 13/11/2013
Cette personne s'appelle... non son nom n'apporterait rien de plus. Il s'agit simplement d'une personne dont la famille fait partie des meubles depuis des lustres et des lustres dans le village (*).
Depuis le dernier trimestre 2012 et durant de nombreux mois, vous êtes venus chez moi. Il s'agissait en façade d'une demande d'aide. Bien sûr rechercher des informations sur internet fait partie des choses que j'aime faire. Il est vrai aussi qu'un écrivain public se fait payer ce qui n'est pas mon cas.
C'est toujours un véritable bonheur de partager.. tout comme jouer avec une présence qui se montre inamicale et qui s’incruste dans mon "bocal".
Dans le genre petites phrases significatives que j'ai retenues en voici quelques unes.
Commençons par la première que j'ai entendue :
"dans le village on m'envoie dans les situations difficiles parce que je sais embrouiller..."
Réponse : Comment peut-on organiser et débuter aussi mal un jeu de dupe. La prochaine fois de grâce... n'envoyez personne.
"la rumeur on n'y peut rien"
Réponse : On ne peut rien seulement quand on manque de courage ou que l'on ne veut pas couper la branche sur laquelle on est assis. La rumeur est l'arme des pitres et des lâches. Ils s'y retrouvent. Ils s'y complaisent. Ils l'alimentent. Ils en profitent...
"si voulez vous présenter aux élections, il va falloir accepter de rencontrer les gens."
Réponse : Le ricicule ne tue plus. Heureusement pour vous... et ceux qui pensent comme vous... Quant aux "gens" comme vous dîtes, sur le principe ma porte est toujours ouverte à tout le monde au moins une fois : vous en êtes la preuve.
«... notre couple se connaît depuis la maternelle... »
Réponse : super... mes petits textes ont été entendus et écoutés. Il faudra le dire au Maire. Lui m'a affirmé, méthode Coué oblige : « personne ne va sur votre site »...
Soyons sérieux, je vous confirme que chacun de mes textes fait l'objet soit de faits que j'ai pu constater par moi-même ici ou ailleurs, soit notamment dans ce village l'objet de confidences comme la vôtre. Le témoignage le plus poignant aura été celui qui concerne la dictature relationnelle... celle qui ne donne que le choix de quitter le village... de son plein grés "les pieds devants" ou en vendant la maison construite par ses parents....
Mais encore, vous souvenez-vous de votre mine dépitée quand je vous ai dit : "je prenais ma retraite" ? Rappelez-vous, vous avez eu la même quand je vous ai dit « cette (ma) maison je l'aime»
Instinctivement vous n'avez pu vous empêcher de verbaliser : « vous êtes sûr que vous avez tous les trimestres » ?
Vous ayant répondu oui, vous alors pris votre air soupçonneux. Rappelez-vous, celui que vous avez affiché à chaque fois que j'ai affirmé quelque chose.
Puis vous avez dit sans prendre votre respiration mais en prenant votre air de supériorité : « Vous êtes sûr ? Est-ce qu'ils vous ont donné un papier ? »
Une fois encore il m'aura fallu gérer avec élégance l'impudence, la médiocrité relationnelle...
Ce debriefing n'est pas exhaustif.
(*) Saint Michel de Lapujade