le 6 avril 2014
2012 fût l'année qui maçonna les bases de mon "divorce" avec la fédération.
Suite aux malversations du cabinet d'architecte ALVARO de langon chargé de la déclaration de travaux de mon local de massages-bien-être, j'ai fait appel au services juridiques de la fédération.
Celui qui allait devenir le responsable juridique de la fédération me répondit par téléphone car l'architecte imposait une réponse rapide.
Ce futur responsable juridique me dit, en autre, que nous n'avions pas la vocation de masser les personnes handicapées et que c'était le rôle des kinésithérapeutes.
Après reflexion, je me rangeais à son avis car n'étant pas formé à la prise en charge des personnes ayant perdu l'usage de leurs membres inférieurs, je n'envisageais pas de prendre le risque de mettre en danger la santé de personnes atteintes de ce type de handicap.
Quelques semaines plus tard bien après ma réponse à l'architecte, je reçu un courriel de ce responsable juridique. Sa réponse écrite était inverse à sa réponse téléphonique.
Monsieur le président, c'est toi qui m'a formé au massage assis sur chaise. J'ai eu, moi aussi, tout le temps pour t'évaluer.
La confirmation de la justesse de mon analyse est venue malheureusement avec la participation active de ta fédération au délit de sale gueule local.