05/05/2023
La fonction de Maire (premier magistrat de la communauté) est une des fonctions citoyennes qui mérite le plus grand respect. Respect auquel je suis profondément attaché. Ils sont des milliers à l’incarner dans la respectabilité. Mais comme chacun sait : « les exceptions » confirment la règle.
• au premier paragraphe, Monsieur MALANDRIT-SALLAUD vous revendiquez une de vos pulsions démoniaques: « la colère ».
• au dernier paragraphe, Monsieur MALANDRIT-SALLAUD vous faîtes référence à une origine potentielle de votre pulsion colérique : « la souffrance ».
• De là à considérer certaines de vos actions comme « vengeresses », il n’y aurait qu’un pas à franchir.
Permettez-moi d’affirmer, Monsieur MALANDRIT-SALLAUD, que ces mots ne font pas partie du parfait manuel de survie. Ce sont en revanche des mots que l’on peut décoder chez nombre d’êtres humains notamment rongés par un pouvoir qui les dépasse. Je les nomme les « petits-maîtres ».
Depuis des lustres grâce à ce village, j’ai pu bénéficier d’une pratique journalière du manuel de survie. De la même manière que j’ai dit « il y aura des conséquences » à Madame la juge des tutelles Agnies ROLLAND jusqu’à ce qu’elle détourne son regard car elle « œuvrait » en toute impudence (11), la suite de cet article doit être considérée comme une simple conséquence [rationnelle et sans limites jusqu’à extinction définitive de la menace et/ou de ma personne(10)].
Dans votre Bulletin d’informations N°37, Monsieur MALANDRIT-SALLAUD Maire de Saint Michel de Lapujade, vous annoncez que la Mission Stephane BERN a choisi l’église de LORETTE pour lui accorder une subvention. En voilà une bonne nouvelle… J’ai lu également avec intérêt l’article du 26 février 2023 du Républicain Sud Gironde qui décrit la reconversion du village « autour du bénitier » cherchant peut-être à exciser des esprit la stratégie de « la viande soule » revendiquée et officialisée par le précédent Maire Monsieur Philippe BOISSONNEAU (viticulteur) et vous son premier adjoint…. Devenu Maire vous maintiendrez trop longtemps cette politique d’aliénation tout en la diversifiant.
LUCIDITÉ
Au cours d’un de mes séjours à lorette dans les années 2000-2010, j’ai reçu la confidence d’une quasi-Lapujadaise qui, après s’être installée à Bordeaux, venait de vendre la maison familiale limitrophe à lorette. Elle m’expliqua que l’évêché les avaient abandonnés, la dernière fois qu’un évêque avait dit la messe à lorette c'était au début des années 60 et que cela ne serait plus jamais comme avant. Je me rappelle lui avoir répondu qu’il ne faut jamais perdre espoir et que tout est possible pour le meilleur (0)…
LE 7ième ART À LA CAMPAGNE
Dans les années 80, Le prêtre Jean-Louis officiait à lorette. Celui qui était devenu un ami des propriétaires de la bâtisse avait tenté d’apporter son dynamisme dans le secteur. Ancien élève d’une école de cinéma, très décrié et rejeté par la population locale, il portait à leurs yeux les stigmates d’un homme perverti par la culture... cinématographique.
Le 23 mars 2023, l’Institut international de l'image et du son, « 3IS Bordeaux », m’a proposé qu’une partie du tournage d’une de leurs formations soit réalisée dans l’ancienne bâtisse des pèlerins. Ayant participé comme comédien (1) à ce type de réalisation, sans prendre le temps de la réflexion j’ai immédiatement accepté de vivre de nouveau et cette fois en spectateur cette superbe expérience. Le 1er avril 2023, les premiers repérages ont été réalisés. A la fin du repérage, le tournage était confirmé début mai 2023. La dernière date retenue sera le 5 mai 2023. Le tournage dans la maison a été organisé dans des conditions très professionnelles et dans une ambiance particulièrement chaleureuse..
FISSURES
Ce nouvel épisode (2) de fissures sur la voûte de l’Église Notre-Dame de Lorette a permis à la Mission Stephane BERN de reprendre la main sur l’avenir du carrefour. Il est difficile d’imaginer un financement sans un cahier des charges en amont de la demande ; à la fois en terme de travaux, mais aussi en terme de retour sur investissement. Le projet de la mission est à la fois particulièrement précis et porteur d'avenir.
Monsieur Le Maire, ce n’est en aucun cas votre projet. Sur ce sujet, la culture de Lorette et la culture au sens large n’a jamais été vôtre. Vous saviez bien que vous n'aviez aucune chance de détruire la culture inhérente à la l'église et imposer votre culte de l'argent ; comme pour la bibliothèque par exemple. Ce projet est né des fissures et de la chance pour ce lieu que d’autres pouvoirs s’y intéressent.
TRAVAUX
Concernant la nature des travaux décrit pour l’église , sa bâtisse « jumelle (3)» présente aussi d’importantes fissures sur sa façade EST. En 2011, après expertise j’ai fait réalisé des travaux de réparations. Mais les fissures sont réapparues. Après avis de professionnels, il s’avèrent que plusieurs causes œuvrent dans l’indifférence. L’une fruit de l'incompétence technique et/ou de l'irresponsabilité rappelle que lors du busage du fossé dans le cadre de la rénovation du carrefour, Monsieur Philippe BOISSONNEAU chargé de la rénovation du carrefour n’a pas fait financer le drainage des eaux de pluie. L’autre, fruit de l'irresponsabilité des potentats locaux, concerne ces transporteurs HORS NORMES ; qu’il s’agisse depuis deux decennies du frêt hors normes au profit de la viticulture locale mais aussi d’imposants et récurrents transports de granulats venant de la gravière ROSPARS ENTREPRISE. Depuis plus d’une décennie, les transports de granulat passent en masse par le carrefour de lorette après avoir emprunté la route de lardan et la route de la comtesse. Vu leur état ces deux routes ont été entièrement refaites à plusieurs reprises. L'efficacité destructrice des vibrations mécaniques et des infrasons ne peut être remise en cause. Ce type de nuisances n’existait pas lors de la conception des deux bâtiments. Ayant détruit les routes à plusieurs reprises, elles n’ont pu qu’accélérer les problématiques des deux bâtisses centenaires du carrefour ; carrefour permettant freinage, demarrage et à l’occasion chocs directs (voir la destruction du muret) par des charges inadaptés à l’immobilier. Les « rayures » sur la façade principale de l’Église, quant à elles, bien que réelles sont comparables à un épiphénomène. Et que penser des trois énormes « nids de poules » prés de l’entrée côté jardin de la bâtisse qui apparaissent de manière récurrente, sans qu’aucune solution pérenne n’ai jamais été envisagée. La description des pathologies faite par la Mission Stéphane BERN, toutes proportions gardées, fait penser à un copier coller du constat complet de celle de l’ancienne bâtisse des pèlerins. Bien que ce ne soit pas mon objectif, la différence réside dans le fait que l’aile EST de l’ancienne bâtisse des pèlerins ne pourra objectivement et malheureusement que faire l’objet d’une demande de travaux de démolition si les stratégies tout azimut et délétaires à l’encontre de la bâtisse perdurent(4).
LE R.O.I
Le retour en terme d’investissement (Return On Investment) pour la Mission Stephane BERN est décrit en trois points. Il peut-être compris comme une normalisation conforme permettant un retour au passé historique. Ce qui permet de comprendre la mise en place par le village, non pas d’une stratégie qui est l’apanage de la Mission Stephane BERN, mais d’opérations incontournables à réaliser pour obtenir la subvention initiale qui a pour vocation d’attirer d’autres subventionneurs..
Ceci étant tout à l’honneur de ceux qui se sont impliqués dans les réalisations concrètes, il convient de rappeler que la prise en main par des décideurs extérieurs au village, est avant tout la conséquence d'un manque pathétique de vigilance.
Conduire un village ou une voiture un point commun… pas de « viande soule »… sinon… comme le martelait la pub : « bonjour les dégats »... Il convient de constater que l'on retrouve les mêmes Lapujadais dans les allées du nouveau pouvoir... espérons que l'eau du bénitier restera de l'H2O.
LE MAIRE
Monsieur MALANDRIT-SALLAUD ce projet de rénovation tourné vers la culture du lieu-dit est aux antipodes de votre culture personnelle. En tant qu’adjoint au maire puis maire vous avez traité avec prosélytisme le culte à « Bacchus », financé la propagande de « la viande soule » et la destruction de biens culturels. S’il est vrai que le besoin de détente est incontournable dans toute société humaine, avec vos complices vous avez promotionné ce concept de « viande soule » jusqu’à l’overdose, interdit celui du massage du bien-être et dans le même temps sous de multiples formes interdit l’accès à la culture(5).
Pourquoi ne suis-je pas surpris que vous fassiez revendiquer par votre secrétaire « l’historique du village » pour justifier l’interdiction d’une activité légale et honorable de massage-bien-être ?
Par ailleurs, la « production musicale historique» du lieu-dit a un local adapté à sa production et à ceux qui l’apprécie : l’église de Lorette.
Je constate simplement que le type de musique que l’on entend maintenant dans le carrefour n’est notamment pas conforme au « on ne fait pas n’importe quoi dans ce lieu ». Mantra que vous promotionnez quand cela vous arrange personnellement.
Par exemple, vous vouliez prouver... que le chaland puisse trouver des raisons de s’arrêter dans ce carrefour. L’été dernier sacrifiant une fois encore à vos « démons internes », vous avez de nouveau élevé le niveau d’aliénation public en multipliant les week-end et le niveau de production de décibels sur la place de Lorette. Un de vos prédécesseurs par respect pour tous et pour chacun avaient construit un lieu de confinement sonore et d’épanouissement pour les passionnés de ce type de musique : la « salle des fêtes ». Ils permettaient ainsi que la paix sociale et le mot civilisé ne soit pas un vain mot, que la tranquillité de tous soit possible… et surtout celle des enfants. Mais ce concept n’est pas de votre niveau de réflexion ni de celui de vos aficionados.
Rappelez-vous aussi, sur la place de Lorette, vous aviez commandé l’installation d’un dépôt de verre en avant des platanes, sous les fenêtres de ma mère et en face de notre entrée. Vous avez ordonné le début des travaux. Les opérations de terrassement terminées vous avez été contraint de faire machine arrière et d’annuler le projet né de votre ambivalence psychique, cristallisation d’un manque de réalisme avec un comportement extravagant qui évoque la schizophrénie, et tout cela au frais de la communauté. Il est clair que certains villageois dont le mécontentement était visible vous ont fait comprendre que notamment la culture et ou l’historique du lieu ne pouvait être sacrifié à votre violence…
Finalement, entre vos mains le prétexte de l’histoire du lieu n’est qu’un outil de manipulation propagandiste ; tout comme le repas de fin d’année 2022… au frais de la communauté.
Monsieur MALANDRIT-SALLAUD, si vous aviez eu l’étoffe d’un gestionnaire au lieu de vous confiner au rôle d’opportuniste voire pire... vous auriez commencé par utiliser les ressources du village. A peine élu, vous avez choisi de les neutraliser pour imposer vos œillères et inspirer la peur comme seul les petits maîtres savent le faire. J’ai écouté au moins le témoignage d’un(e) villageois(e) vous qualifiant de « dangereux ». Je l’ai compris uniquement dans le sens : « quelque soit le mode de sélection, le nombre des imbéciles restent constant mais plus ils montent dans la hiérarchie plus ils deviennent dangereux ».
Permettez moi d’ajouter que j’ai été proche de propriétaires et faiseurs de qualité dans les vignobles du médoc, de l’entre-deux-mer et de saint-émilion. J’ai eu la chance de participer à des dégustations avec des professionnels sincères mais aussi entrepreneurs accomplis. J’ai pris acte qu’avec votre complice et prédécesseur le logo que vous avez créé et utilisé comme bannière du comité des fêtes relève de l’addiction à la « vinasse »... que vous présentiez comme une tradition locale… qu’il convenait de dénoncer jusqu’à disparition… pour contrer la propension à l’aliénation que votre management induit. Mais la pénétration de la civilisation dans le paysage grâce au projet élaboré par la Mission BERNE, permet déjà de conserver l’espoir pour les générations suivantes dont font partie mes petits-enfants.
LES STRATÉGIES
Sur un plan stratégique, l’ancrage aristocratique (6) à Lorette est maintenant acté. En ce qui me concerne j’ai été averti de leur intention en 1998 /1999.
Dans les mois qui ont suivi mon installation à lorette (1998) j’ai assisté au dernier pèlerinage réalisé par la noblesse. Ils avaient décoré le lieu-dit avec des blasons, des bannières et autres symboles . Un des pèlerins se planta en travers de l’entrée de la propriété. Il entama une « longue » joute visuelle. Aucun doute ne pouvait subsister pour qui comprend le langage non verbal... la bâtisse les intéressait. Pourtant, elle avait été mise en vente par les sociétaires de la SCI pendant 10 ans...
Concernant les objectifs de la noblesse, Michel RAMONET (qui serait l’alias de Nicolas CUZOL) va œuvrer avec arrogance. Grandiloquent, il m’expliquera à plusieurs reprises combien il était fier de ses quartiers de noblesse. Franc-maçon déclaré, il pérorera en public que lui et son compagnon étaient deux templiers dont la hiérarchie venait de réactiver l’ordre. Il précisera la nature de son complexe de supériorité en énumérant de nombreux sujets sur lesquels il se considérait supérieur… aux roturiers (7). Comprenant qu’il n’avait aucune prise sur moi, il deviendra menaçant notamment en éructant des « il ne faut pas que tu te crois le plus fort »… en évoquant la puissance des lobby homosexuels (7bis)..., et vomira des mises en garde si je ne lui vendais pas la bâtisse : « IL » affirmait notamment avoir le(s) réseau(x) pour faire avorter toute tentative de vente. Ayant échoué à concrétiser, le flambeau de son « réseau » sera repris par le locataire du logement social d’en face. Lors de l’une de nos premières rencontres, ce locataire précisera que son nom était celui d’une très vieille famille de France (8). En présence de sa femme, il affirmera notamment que j’étais trop vieux et plus en capacité de m’occuper de la bâtisse… Un jour, furieux, il « déboula » dans mon jardin pour me dire : « Je ne suis pas d’accord !!! que tu aies fait couper [un arbre au bord du ruisseau] ». Depuis, au-delà de l’ensoleillement retrouvé, à la place je peux admirer à chaque printemps les couleurs magnifiques d’un arbre de Judée en floraison. Puis de délires en délires, il se présentera comme l’« héritier » pour me remplacer. Comme un de ses prédécesseurs locataires du logement social d’en face qui s’est confié suite à un départ rendu difficile par son logeur, je sais que ce loueur et au moins un membre de sa famille sont les moteurs de nombreux délires dans ce carrefour.
En parallèle, la municipalité avait, elle aussi, de stratégiques ambitions immobilières. Le Maire à l'époque de mon installation me dira sur le ton pervers de la fausse confidence : « nous n’avons rien pour arrêter les visiteurs ». Les meneurs avaient eu 10 ans pour faire une offre d’achat mais ils attendaient sans doute qu’on leur donne. Leur stratégie de spoliation achoppera après 25 ans de harcèlements (même plus si on tient compte des déboires systématiques de ceux qui avaient envisagé d’investir et/ou de s’épanouir professionnellement dans cette bâtisse de 1981 à 1998). Monsieur Le Maire MALANDRIT-SALLAUD, pendant son mandat, confirmera officiellement l’existence et l’échec de la stratégie multidécennale de la municipalité. La déroute des Bourrins est décrite dans sa gazette N°24 janvier-juin 2018 (et le débriefing la cible). Qu’ils s’agissent du pouvoir local, de l’aristocratie et de la justice des tutelles(9), ils se confirment trois stratégies convergentes s’appuyant notamment sur la complicité des « suiveurs », les menaces de leurs réseaux et les actes voyoucratiques débouchant notamment en 2022 sur une tentative de meurtre (10).
SYNTHÈSE
Comme me disait Michel RAMONET en faisant référence aux meneurs locaux :
« Ce ne sont pas eux qui décident et ça ne va pas leur plaire ».
La lettre d’information N°37 du Maire Monsieur MALANDRIT-SALLAUD, montre qu’il se trompait… l’argent pour pénétrer et contrôler efficacement le mental des meneurs et des Junkies a le même pouvoir que la vaseline…
(0)… comme pour le pire. Monsieur MALANDRIT-SALLAUD, je n’oublie pas votre traîtrise alors que venant d’être nanti Maire, vous et votre premier adjoint Monsieur Maurice POUDENS m’avez agressé dès mon entrée dans la salle de vote lors des élections Européennes de 2016. Ainsi vous avez perpétué la violence de votre prédécesseur ; pointant ainsi votre complicité active comme premier adjoint à certaines décisions délictueuses de la municipalité à mon encontre. Je n'oublie pas non plus que Monique POUDENS la femme de votre premier adjoint a éructé en public ma non appartenance au village, prétendant ne pas me connaître. (1) un collègue de la troupe les Enfants d'ARLEQUIN (troupe de comédie musicale qui produisait des spectacles bisannuels) proposa à certains comédiens de participer à sa production de fin de formation cinématographique à l'école de cinéma Louis Lumière.
(2) Rappelez-vous, en ce début de millénaire le maire s’inquiétait déjà de larges fissures sur la voûte de l’église. Quelques mois après m’en avoir parlé, il m’expliquera que les tailleurs de pierre avaient « oublié !!! de cimenter leur travaux »... au niveau du clocher, que les ornements du clocher avaient enfoncé la toiture et la voûte… quelques semaines plus tard, il ajoutera : « ce sont les assurances qui vont payer [de mémoire plus de] 200.000 €. Les assurances auraient-elles été grugées ? Sans succès car faute de prise en compte des causes des fissures, plus d’une décennie plus tard il convient maintenant de « pomper » d’autres « financeurs » et cette fois drastiquement.
(3) en terme de naissance 1864. On peut raisonnablement penser que les deux bâtisses faisaient partie du même projet initial...
(4) Après cinq ans de « combats » les expertises juridiques devraient poser des bases plus efficaces que le bon sens pour que les assurances assument (quand?) leur part des contrats. De la Justice des Tutelles dans le dossier de ma mère qui utilise la loi comme un paillason. Mais aussi, Monsieur Philippe BOISSONNEAU (maire de l’époque) et vous Monsieur MALANDRIT-SALLAUD (adjoint au maire de l’époque et maire actuel), m’avez notamment fait interdire de travailler pour m’appauvrir et consolider la stratégie communale de spoliation. En sus, il faut savoir que suite à des infiltrations, Monsieur BOGEY tuteur de ma mère refusera de gérer les pièces de cette aile EST sinistrées et assurées par ma mère. Il fera des déclarations mensongères aux assurances qui seront reprises par leur expert. Puis il changera de compagnie d’assurance. Comme chacun de ses prédécesseurs dans cette fonction de justice, il mettra une fois de plus en péril la sécurité et l’équilibre financier de la SCI. Faut-il y voir une complicité dans ce dossier des membres de la Justice des Tutelles avec notamment des meneurs du village? Pour l’instant seuls les faits sont incontournables. (5) Rappelez-vous, le niveau d’abrutissement revendiqué par vos soins n’était pas suffisant. Vous avez fermé la bibliothèque. Dans l’histoire ceux qui interdisent l’accès aux livres sans exception sont des prédateurs.
Mais plus encore, il m’a été rapporté qu’à l’époque où vous subventionniez la propagande pour la consommation orgiaque des produits de la vigne, vous refusiez dans le même temps de subventionner au moins l’association du village qui tentait de mettre en valeur ruralité et patrimoine.
(6) J’ai appris il y quelques décennies que la République réserve des surprises. Je ne sais ce qu’il en est aujourd’hui, mais à l’époque La Marine de la République était très souvent nommé La Royale et ses officiers qualifiés régulièrement d’aristocrates. Je faisais partie de l’équipage de l’Escorteur d’Escadre LA GALISSONNIERE. J’avais pris l’habitude, dans mon temps libre, de me glisser dans un coin de la passerelle pour profiter de la mer. Qu’elle soit calme ou déchaînée, le spectacle était toujours grandiose. Le pacha supporta ma présence pendant un temps. Un jour je l’entendis interpeller un jeune enseigne de vaisseau par sa qualité aristocratique : « Prince ». Il s’agissait du Prince de POLIGNAC. Une autre fois le père du Prince fût reçu à bord avec le protocole d’un chef d’état. On nous expliqua qu’on honorait le fait qu’il était le Grand Maître de l’Ordre de Malte.
Le monde est petit... En 2016, lors de l’un des stages de chant organisé par Michel RAMONET, la princesse de POLIGNAC, et son fils qui venait d’hériter d’une propriété à quelques lieues de là, furent annoncés comme spectateurs lors du concert de fin de stage. Cette année là, j’avais chanté Madamina, un air dans DON GIOVANNI opéra écrit par MOZART. J’avais considéré les applaudissements nourris des spectateurs comme une invite à continuer à m’améliorer. Michel RAMONET précisera dans la soirée que « le fils » avait été enthousiasmé et avait décidé de prendre des cours de chant avec lui.
(7) Pour avoir connu d’autres personnes ayant la qualité de noblesse, j’en ai conclu que la dilution génétique avait des similitudes avec la dilution homéopathique : « suivant la substance de base et la dilution, le résultat peut-être curatif ou nocif ». Par ailleurs le droit de cuissage ayant été pratiqué avec assiduité pendant plusieurs siècles, il se pourrait que nous soyons tous cousins…
(7bis) Comme nombre d’hommes et femmes « en forme d’ados pas terminés » qui veulent imposer leurs limites. Par contre, j’ai rencontré dans ma vie d’autres homosexuels sans n’avoir jamais rien à leur reprocher et sûrement bien d’autres encore ne faisant pas état de leurs orientations sexuelles.
(8) Quelque temps plus tard, croisant le chemin du dépositaire de la compétence notamment en terme de "chant» pour le lieu-dit et après quelques paroles anodines, je lui dirais que c’était ce nouveau voisin [sa qualité de noblesse] qui représentait l’avenir du lieu-dit …
(9) Un simple exemple concernant la justice des tutelles : le dernier échange de courriel avec Monsieur Jöel BOGEY tuteur de ma mère reste toujours sans réponse de sa part… Il ne paye plus les impôts fonciers, les charges propriétaires et refuse de justifier de l'assurance propriétaire. Mais aussi, il se revendique haut et fort comme ancien gendarme. Or depuis son entrée en fonction en 2017 son comportement est celui d'un ripoux. Il fait aussi l'objet d'une plainte en gendarmerie pour violation de domicile et vol [en bande organisée]. Il a été mandaté pour cette opération devenue illégale par Madame Sandrine SAINSILY-PINEAU Vice-présidente du Tribunal Judiciaire d’AGEN qui à minima ne fût pas informé par Maître DAHAN, d’une demande de ma part qu’il avait qualifié de justifiée. Ce dernier me dira qu’il avait une réputation à défendre (qui a acheté Maître DAHAN pour qu'il me trahisse ?) et les deux autres enfants de ma mère m’écriront six mois après leur forfait en sous-entendant que c’était moi le voleur... Quant à Monsieur BOGEY, adoubé habituellement par les juges des tutelles dans ce dossier, ancien gendarme, mandataire de Justice et comme ses anciens collègues ayant reçu ma plainte, étant informé par Maître DAHAN et par écrit de ma demande de suspension, il savait que sont intervention était illégale… une perquisition en catimini mais aussi la « vidange » de biens mobiliers à valeurs ajoutés de ma mère par ses deux autres enfants and co. J'avais demandé que ses biens soient vendus pour renforcer son autonomie financière car je sais qu'elle a hérité d'une solide constitution qui la dote ainsi d'une très longue espérance de vie.
(10) Fin 2022, après plusieurs mois de harcèlement infructueux, un proche de Monsieur CECCATO (ancien garagiste logeant à Sainte-Bazeille) a saboté ma voiture avant de me la remettre. Absent au rendez-vous et avant que je prenne les clés, son adjoint affirmera qu’elle était revenu du contrôle technique « de manière autonome »… Globalement une stratégie criminelle qui aurait dû me coûter la vie après quelques kilomètres de conduite. Mais j’avais pris la précaution de tester ma voiture tranquillement sur des petites routes, avant d’être contraint de la rapporter dans les instants qui suivirent. Son adjoint la testera en la conduisant en ma présence et confirmera « le dysfonctionnement majeur » de ma voiture. Une vengeance, initié par qui précisément, est une question pour moi sans réponse à ce jour. Antérieurement à cette « tentative de meurtre », Monsieur CECCATO étant venu chez moi pour m’acheter du matériel d’occasion trouvera le moyen de m’agresser gratuitement et verbalement. Passant devant mon coin musique, en provocateur accompli, il pontifiera brutalement une des rumeurs sans fondement qui permet aux bourrins du secteur de combler leur vide intérieur et de sublimer leurs frustrations : « le problème avec vous c’est que vous n’êtes jamais monté sur scène ». Lors d’une rencontre avec son proche, ce dernier n’avait pas apprécié que je m’exprime sur les propos « anusiens » de Monsieur CECCATO. En effet, Monsieur CECCATO propageait sur le thème de la campagne de désinformations et de rumeurs organisée par la municipalité du village. Cette campagne fût initiée après mon installation définitive en 2011 par Madame Monique POUDENS épouse d’un des adjoints du maire Monsieur Philippe BOISSONNEAU et collègue d’un autre adjoint Monsieur MALANDRIT-SALLAUD.
(11) mais aussi avec barbarie à l’encontre de ma mère pour la détruire et justifier en urgence son incarcération en maison de retraite… et ce après avoir initié sa mise en scène en me traitant psychologiquement incapable de prendre la bonne décision. Pourtant sa place en maison de retraite était acquise avant l’audience, la suite le confirmera. Je défendais simplement l’utilisation de l’intelligence pour aider ma mère à accepter. C’était simplement une question de temps. Mais la Justice des Tutelles dans ce dossier n’avait pas délégué suffisamment de QI pour traiter ce dossier humainement. Ma mère sera contrainte à prendre pour la première fois de sa vie des psychotropes pour surmonter cette agression immonde. Les juges attachées à ce dossier dénués d’éthique professionnelle comme ses deux autres enfants traiteront ma mère comme un sac de viande décérébré. La présidente de la cour d’appel Madame Marie Hélène PICHOT, dans le piège qu’elle avait conçue pour imposer les décisions de La juge des Tutelles Agniès ROLLAND, avouera la faute de moyen pour justifier l’impuissance de cette organisation à faire son travail avec professionnalisme. C’est la ritournelle bien connue du « c’est pas ma faute, c’est celle de l’autre » invoqué par les irresponsables en général et plus particulièrement dans ce dossier. Je me souviens depuis la décision initiale jusqu’à l’audience d’appel avoir toujours reçu une fin de non recevoir quand je téléphonais à mon avocat. A l’audience ce sera un bourrin le nez greffé à son téléphone qui m’imposera de ne pas prendre le risque d’avoir un accusateur supplémentaire et de décider dans le sens des juges. C’est lui qui répondra à la question de la présidente car je refusais de prendre à mon compte une décision que je n’avais pas pu valider objectivement, mais que seul mon état de santé me permettait de tolérer en attendant des jours meilleurs pour rebondir.