Dans ce territoire dédiée à La Vierge Marie et singularisé par une source depuis 9 siècles, l’ancienne bâtisse des pèlerins grace à la médiation de ma mère a été vendue à la famille par l'Association Diocésaine de Bordeaux en 1981. En 1998 sur proposition de ma mère, la Famille composée de 18 cousins et cousines a accepté de me vendre cette bâtisse. En ce 30 mai 2018, mois de Marie, à quelques minutes de la fête de la Visitation, l’Eau grâce à une inondation autant spectaculaire qu'inattendue a ruiné une nouvelle fois les espoirs de la Racaille.
Monsieur Christian MALANDIT-SALLAUD Maire des LAPUJADAIS vous avez avoué, écrit, imprimé et distribué dans votre bulletin d'information_n°24_janvier-juin_2018 un des objectifs criminellement acté de la Racaille depuis plus de 41 ans. Dans les jours suivant les inondations du 30 mai 2018 qui ont dévasté la bâtisse, vous et vos partenaires ont donc mis genoux à terre :
« ... Le conseil abandonnant l’idée de construction de logements à Lorette, autorise le maire à engager toute démarche pour l’acquisition d’un bien immobilier destiné à la location, sur St-Michel... »
Le seul bien immobilier ayant été impacté par les inondations, permettant à court terme la location à Lorette, c’est l’ancienne maison des pèlerins que j’habite.
La coupe de la meute ayant été vidée jusqu’à la lie, force est de constater que sa morgue refait surface régulièrement.
Les villageois doivent comprendre que la vision de pourrissement, que vous avez imposée (1) par l’intensification de vos opérations de guérilla permanente dans ce carrefour, a débuté, dure et risque d’empirer. Comme la pourriture les dégradations que la Racaille engendre, matérielles, intellectuelles et spirituelles s’étendent inexorablement dans ce carrefour stigmatisé par 4 stops ubuesques car régulièrement violés...
Force est de constater que la horde favorise la désertification du carrefour. Les « non-villageois» n’ont pratiquement plus de raisons de s’arrêter dans ce lieu-dit…
En parlant de non-villageois, en 2011 après plusieurs mois de répétitions, pendant un repas lors d’un concert de l’ensemble vocal de l’ABBAYE de SAINT ABBON, la complice de l’adjoint au maire de Saint Michel de Lapujade, son épouse et influante personnalité dans le microcosme musical de La Réole, Madame Monique POUDENS en se hissant sur ses ergots pour me contredire affirma que je n’habitais pas son village, qu’elle ne me connaissait pas, qu’elle était la femme de l’adjoint au maire et qu’elle savait de quoi elle parlait. Pourtant elle et son mari étaient mes invités à mon mariage… La maison de mes parents a été mitoyenne de leur domicile pendant plus de trente ans… Et je suis propriétaire dans ce village depuis plus de 41 ans.
Finalement ces propos, dont aucun être humain sain d’esprit ne peut prétendre qu’ils ne visaient pas à terme à m’isoler au-delà du village, m’ont conduit notamment à quitter cet ensemble vocal et à publier sur la pestilence qui maraude dans ce village du fin fond de la France où la Racaille a établi un nid.
Dans le même temps, consolidant cet isolement et m’affaiblissant financièrement, le maire de l’époque Philippe BOISSONNEAU un agresseur sexuel en osmose avec les dérives du « milieu (2)» me fera interdire de travailler par une fonctionnaire directrice d’un service de l’ancienne DDTM... qui me menacera de faire intervenir les forces de l’ordre. Comment a-t-elle été rémunérée ? A-t-elle été menacée par la Racaille ? ; comme l’ont été au vue de leurs témoignages ces fournisseurs qui avaient noués des relations professionnelles avec moi et/ou ma mère.
La Racaille qui vous a précédé, vos complices et vous Monsieur Christian MALANDIT-SALLAUD Maire des LAPUJADAIS avaient le même objectif de spoliation. Pour l’atteindre, « Votre Famille d’Intérêts » a sans succès tenté d’instaurer la peur mais aussi, instrumentalisant la Justice en prenant les Juges et leurs mandataires pour des laquais, en maniant les délations successives, en pratiquant la destruction systématique de biens, en usant de violences verbales, en recourant aux menaces, en œuvrant à la désocialisation...
En 1998 m’installant pour la première fois au-delà d’une guérilla déjà active depuis de longues années, Le Maire Monsieur GAUDENECHE était venu me parler : « ...nous n’avons rien pour arrêter les gens… ». Peu après, les accusations mensongères et les agressions commencèrent (3). La Racaille ayant engagé les hostilité avec moi, il n’était pas difficile de comprendre qu’ils avaient confirmé leur véritable objectif...
La racaille, la pègre, la mafia... juste des mots qui représentent une même problématique. C’est pourquoi je les considère comme membre d’une catégorie plus largement représentée : les Bourrins (4). .
Finalement, rien n’est vraiment surprenant dans ce petit village du fin fond de la France. Les villageois après avoir tragiquement choisi un junky, ont désigné comme Maire son premier adjoint, un petit maître (5). Après quelques jours de Pouvoir il poussera à la démission celui qui avait recueilli plus de 90 % des voix. Dans le même temps, il poussera aussi à la démission celles et ceux qui avaient été élus pour leurs engagements actifs dans l’art et la culture du village. Il se donnera ainsi le champ libre pour laisser son culte familial du profit en osmose avec le reste de la Racaille continuer brique après brique le remplacement du culte historique local par le culte du profit… avec les dérives des pratiques qui en découlent…
Synthèse
L’argent étant à l’intelligence ce que les narcots-produits sont au corps, ce sont
Les stratégies perdant / perdant des Junkies
Qui limitent nos potentiels d’êtres humains et nos existences de citoyens.(6)
(*) Dans ma période dessin et fusain, j’ai dessiné cette aquarelle que j’ai donné à ma mère. J'étais un très jeune séminariste, un adolescent dont l’objectif était d’être missionnaire. Cette vocation, je la devais à deux Pères Blancs qui voyageaient vers Dakar sur le même paquebot que ma mère et nous les trois enfants. Ayant embarqué à Bordeaux, le voyage dura un mois. J’avais 7 ans. Ces deux hommes en blanc m’avaient particulièrement impressionnés. À la fin du voyage, ils m’avaient remis une statuette phosphorescente de la vierge. Dans ma chambre, elle trôna sur ma table de chevet suffisamment longtemps pour qu’aujourd’hui encore je puisse me rappeler ce ressenti qui m’imprégnait. Mais la statuette disparut subitement. A cette époque, mon père pour des raisons de culture familiale était anticlérical.
J’ai longtemps gardé cette sensibilité à la vierge Marie qui avait ensemencé mes prières d’enfants. Ma rencontre avec un grand séminariste dans le milieu scolaire me fit oublier ma vocation de missionnaire pour prendre la décision de devenir prêtre. Ce fût une erreur. Pourtant pendant deux ans, je rencontrais des êtres humains ouverts au dialogue, qui cherchaient à comprendre, qui m’ont donné le goût de la lecture et de m’intéresser à mon prochain. Je leur dois beaucoup. Grâce à eux, même dans les moments les plus inféconds, notamment avec le harcèlement de la Racaille dans ce village du fin fond de la France, ma vie a toujours été et reste pleine de sens.
Après le séminaire, je me suis penché vers les sciences, les techniques, les activités physiques, la méditation, l’art par le chant (n'en déplaise aux esprits chagrins : formation, écriture, prestations individuelles, en groupe, variétés,comédies musicales ou plus classiques, opérettes, prestations de fins de stage) ou l’édition de livres, etc... Les activités physiques assidues ont une caractéristique singulière c’est de former l’esprit par la pratique. L’Être devient alors plus difficilement manipulable même dans le cadre d’une séquence de vie surréaliste vécue dans un village du fin fond de la France ou ailleurs.
Au début du millénaire, pendant plus d’une décennie et dans le domaine de l’enseignement du chant lyrique, pour des raisons de coût de l’heure de chant, j’ai côtoyé un couple de deux francs-maçons, Michel RAMONET un adepte de FREUD... et Louis CANIZARES. Ils affirmaient en leur château de Chalonnes et devant leurs disciples qu’ils étaient Chevaliers d’un ordre réactivé des Templiers (de la même obédience que le locataire d'en face). Pratiquant une pédagogie d’aliénation qui se matérialisait régulièrement par un faible résultat, j’ai pu évaluer objectivement la qualité de « petit-maître (5)» de Michel RAMONET lors d’un stage de chant dans la Haute Garonne avec des pédagogues professionnels. Au-delà des ornières, heureusement j’avais pu bon an mal an me concentrer sur l’essentiel : le plaisir d’utiliser ma voix et tenter de faire évoluer sa « sonorité ». Par charité templière sans doute… Michel RAMONET tentera trop souvent de démontrer la supériorité tous azimuts des homosexuels sur les hétérosexuels et la puissance… de leurs groupes de pressions. Ces deux prédateurs, à la différence de Philippe BOISSONNEAU agressant en public, avaient compris qu’étant hétérosexuel, il y avait une limite à ne pas franchir en privé ou en public c’est celle du contact physique. Michel RAMONET utilisera aussi des propos dévalorisants du type « je me méfie des pieds-noirs »... par l'insulte :"tu as manipulé ta mère" ...et plus encore... Puis par la menace il cherchera à m’imposer l’idée de leur vendre la bâtisse de la SCI : «ne te crois pas le plus fort… j’ai les relations pour faire avorter une vente même au dernier moment chez le notaire... » etc. M’expliquant pourquoi ma bâtisse les intéressait, Louis CANIZARES me dira sur le ton de la confession : « … tu comprends… en rentrant récemment dans une église, je suis tombé amoureux de Marie... ». Il y avait eu bien avant ces épisodes, la manipulatoire et pitoyable déclaration de Michel RAMONET : « il faut que tu comprennes que tu n’es pas à lorette par hasard »... Le nom de deux Pitres suplémentaires à inscrire au panthéon du village de Sainte Triche. Cette affirmation amplifiera, un jour de confession sans doute, l’affirmation de ma sœur et dame patronnesse (*a) qui cancanera : « je ne comprends pas… c’est moi qui suis légitime… [après m’avoir pourtant vendu en 2001 toute ses parts comme convenu en 1998] ».
Au-delà, de mon respect de toujours pour l’intégrité physique, intellectuelle, spirituelle et morale des autres, je précise pour ceux qui ne veulent pas comprendre que ce respect est conditionné à la réciprocité.
(*a) Les ragots prétendent que suite à un accident grave d’une de ses filles, elle aurait vendu son âme à Dieu. Mais dans la langue Française Dieu et le Diable... commencent avec le même binôme de lettres…
(1) l’état de ce carrefour est le résultat de l’application de la troisième loi de la mécanique générale de Newton qui se formule aussi en deux mots : « Action / Réaction ». Cette loi de la physique explique à notre échelle humaine la loi de la vie naturelle. Pour pallier au caractère binaire de cette primarité et normaliser en régulant le fonctionnement de nos sociétés, un cadre est établi notamment par les lois. Comprenez, la régulation est également un principe de la physique. Ce principe démontre que quand la boucle de rétroaction est mise hors d’état, par exemple quand la constitution, les lois et/ou les règles sont piétinées, le système va de plus en plus rapidement vers la destruction des butées qui le bornent… un exemple : Rendez prioritaire pendant deux dizaines d’années au mépris du bon sens le passage en force de «super tanker des autoroutes » près d’un immobilier qui en porte les traces objectives, en réaction vous pouvez facilement imaginer que cet immeuble se fissurera, sera fermé, et ne servant plus à personne… Connaissez-vous la stratégie de la grenouille ?… juste une piste pour ceux qui dans ce village n’ont pas d’intérêts en terme d’investissements trashs : « avant de m’accompagner dans leur cave Rue Bayard à Paris, les Francs-Maçons m’ont fait macérer pendant deux heures dans une salle surchauffée. Ce fait n’étant pas acceptable sauf éventuellement pour un « cocu, battu... content », c’est la raison pour laquelle je n’ai pas donné suite aux rappels et offres d’intégrer qui m’ont été faites par la suite. Il y sûrement des individus normaux chez eux et avec qui j’aurais certainement pris plaisir à débattre. Mais dans ce cadre, ils ont perdu l’occasion d’avoir un ami…
(2) Un jour, la secrétaire de Mairie débagoulera : « vous comprenez on ne peut pas faire n’importe quoi, ce lieu a une histoire » ; Sentence évoquant un mental local, inculte et castrateur, figé dans le passé, objectivement aliéné par l’usuel caractère vicieux, malsain, pervers, obscène et somme toute narcissique de la Racaille (2a). Ils m’empêchèrent de pratiquer mon activité professionnelle (2b) de massage bien-être. L’école dont je suis diplômé s’appelle aujourd’hui l’École Internationale du Spa. Elle propose des formations diplômantes reconnues par l’état. Par ailleurs, La Fédération Française de Massages-bien-être (2c) a validé ma qualité de professionnel dès 2009.
(2a) Handicapée par un système cognitif de type primaire, La Racaille ne peut maintenir sa cohérence subjective que par un quoiqu’il en coûte à la communauté. Avant de s’acharner sur moi, c’est notamment sur ceux qui avaient envisagé d’acheter la bâtisse au milieu des années 90 qu’ils vidangeront le produit infécond de leur tripotage neuronal collectif. En location – vente, les locataires avaient démarré leur activité depuis plus d’un an quand ils furent contraint eux aussi par... l’administration !!!... d’arrêter leur activité. Selon mes informations, ils se sont « posés» sans problème en Charente pour réaliser avec succès leur activité.
(2b) En 2011 alors que je lui présentais mon activité, Monsieur Jean-Marie MONGIE le maire de FONTET avait éructé devant sa secrétaire, avec un ton supérieur et méprisant : «… vous pensez-peut être que l’on va vous envoyer nos femmes... »… Quelques jours plus tard avec un ton moqueur, son premier adjoint vomira à la ponctuation près les mêmes paroles antiféministes.
(2c) https://ffmbe.fr/
(3) Concernant l’emploi j’avais découvert avec le 47, l’un des deux départements les plus sinistrés de France à l’époque. Pour les employeurs « provinciaux » de gironde que j’ai rencontrés, j’habitais trop loin de leur entreprise. Sur le sujet de l’emploi, j’avais écouté le verdict d’un membre du conseil municipal m’expliquant qu’il me faudrait accepter ce que le secteur voudrait bien me donner : « saisonnier dans les vignes ». C’est à Paris que je retrouvais en quelques semaines une activité professionnelle ; puis très rapidement et bien qu'ayant ma résidence principale à Lorette en Gironde, c'est en "province" à Lisieux comme ingénieur commercial grand compte spécialiste de produits de haute technologie combinant l’informatique à l’électronique(3a) que je signais pour un CDI.
Six mois après mon départ, mon père décéda. Bien que je revinsse deux fois par mois pour m’occuper de mon jeune fils, ma mère me fit comprendre qu’elle avait besoin de moi. Les premiers investissements dans la bâtisse à Lorette commenceront deux ans après… En totale synchronisation, Le Rut de la Racaille reprendra. Notamment et quelque temps après, pour tenter de me décourager Le Maire Monsieur GAUDENECHE augmentera la pression et deviendra provoquant puis menaçant : « ...vous verrez… nous avons le bras long... ». Il est vrai que ma mère avait fait intervenir un expert de la Fédération du Bâtiment pour recadrer les entrepreneurs locaux face à leurs malversations...
(3a) Un des projets auquel j’ai répondu avec les produits de mon employeur QANTAFLOW et que j’avais chiffré à plus d’un million d’euros, était un appel d’offre pour la ville de Bordeaux. Il concernait le comptage dynamique des parkings de la CUB.
(4) Que penser également d’une Justice des Tutelles déroulant sans discontinuer des opérations de « terreur d’état » ?... de la torture réalisée en audience par une Juge des tutelles ayant produit des séquelles permanentes chez une personne âgée handicapée… mais aussi avoir agit avec barbarie sur une base virtuelle de séquestration et de maltraitance d’une personne âgée et handicapée (des années après l’ouverture du dossier c’est une formulation affirmée et donc une accusation abandonnée en audience par la présidente du tribunal d’appel de la Justice des Tutelles)... jusqu’à la dernière opération en date, objectivement en dehors du cadre juridique, sauf complicité improbable entre un Juge des Tutelles, la partie adverse et mon avocat... donc sous la conduite et la responsabilité pleine et entière du tuteur : pénétrer en mon absence dans la bâtisse, changer une serrure, organiser avec les deux autres enfants de ma mère le vol de « valeurs » de ma mère et de biens m’appartenant, de violer et de fouiller ma partie d’habitation à la recherche… d’un trésor peut-être… allez savoir quels délires sont engendrés par le tripotage de neurones chez les Junkys et ce quelque soit le côté de la loi où ils s’ennuient. Une plainte contre eux a été validée et enregistrée en gendarmerie… Ce viol vient compléter la trousse à outils utilisée par la justice des tutelles dans ce dossier et pour parti déjà dénoncé avec succès en audience : le vol, la subornation, la falsification, la soustraction de preuves, la torture psychologique, etc.
(5) il y deux catégories d’individus :
D’une part, ceux qui vous imposent leurs limites. Ainsi vont les petits-maîtres...
D’autre part, ceux qui vous permettent de dépasser vos propres limites…
(6) L’argent comme les narco-produits utilisés par exemple dans le domaine thérapeutique sont des produits à valeur ajoutée. Mais voilà, l’intelligence n’est pas toujours au « rendez-vous ». Ainsi Le nouvel échec villageois validé en juin 2018 par Monsieur Christian MALANDIT-SALLAUD Maire des LAPUJADAIS objective un abandon [temporaire] du projet villageois de spoliation (voir ci-dessus). Avec cet échec évoqué mais assumé d’une tentative multidécennale de vol d’un bien immobilier, le maire confirme par écrit le dévoiement belliqueux et improductif de quatre décennies d’actions villageoises harcelant dans leur droit d’usage et de jouissance les propriétaires de l’ancienne bâtisse des Pèlerins…